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Politique de la douleur

Nous mettons tout en œuvre pour prévenir et/ou soulager au maximum la douleur du patient.
La douleurMesure de la douleurTraitement de la douleurFausses idéesMédicaments à domicile Contact

Un bon traitement contre la douleur présente de nombreux avantages.

Il est généralement admis que si vous éprouvez moins de douleur, vous vous rétablissez plus facilement. Une cicatrisation plus rapide des plaies, moins de risques de faire des complications et une rééducation plus aisée. 

La douleur aigüe, la douleur postopératoire et la douleur provoquée par les lésions doivent toujours être traitées. La douleur aigüe non traitée peut éventuellement évoluer en douleur chronique qui est, elle, plus difficile à soigner.

Important !

  • Prenez uniquement les médicaments tels qu'ils vous ont été prescrits.
  • Ne dépassez jamais la durée ou la dose indiquée.
  • Respectez toujours le délai d'attente minimum entre deux prises d'antidouleurs.
  • Ne prenez pas les médicaments restants à un autre moment. Ne les transmettez pas non plus à une tierce personne.

Transmettez toujours un exemplaire de votre schéma des médicaments à votre pharmacien. Ainsi, il ou elle pourra clarifier certains aspects propres aux médicaments que vous devez prendre.

Qu'est-ce que la douleur ?

La douleur que vous éprouvez après une intervention a une fonction. Elle agit comme un signal d'alarme. Jusqu'à un certain degré, il est normal d'éprouver une douleur ou un inconfort après une opération ou un examen. 

En tant que patient, il n'est pas évident de décrire la douleur. Comment formuler le degré de douleur et l'endroit exact où cete douleur se situe ? Ces informations sont pourtant importantes pour une prise en charge adéquate. 

Vous êtes la seule personne à éprouver la douleur et donc la seule personne à pouvoir indiquer le degré, c'est-à-dire l'intensité, de la douleur.

Il est important de connaitre le degré de la douleur (intensité de la douleur) éprouvé.

La manière dont vous éprouvez cette douleur est très personnelle. Tout le monde l'éprouve d'une autre façon. C'est pourquoi vous êtes la seule personne à pouvoir vous exprimer sur la nature et l'intensité de cette douleur. En exprimant votre douleur, elle devient une réalité, pour vous et les autres. 

Douleur aigüe

La douleur aigüe est utile pour ne pas dire indispensable. Elle met en garde contre les dangers. Souvent, il s'agit d'un douleur de courte durée et intense. Elle se manifeste soudainement et peut durer quelques heures, quelques jours ou quelques semaines. Souvent, il y a une raison manifeste : douleur postopératoire, maux de dents, douleur inflammatoire... La douleur disparait une fois qu la cause a été éradiquée. 

Douleur chronique

La douleur chronique est une douleur qui persiste entre trois et six mois. La cause physique est souvent très difficile ou même impossible à dépister car elle ne peut être éradiquée. C'est pourquoi la douleur chronique est traitée de manière symptomatique. Quelques exemples : maux de dos chroniques, maux de tête chroniques, douleurs fantômes, douleurs chroniques dues à un cancer. La douleur chronique est handicapante dans de nombreuses facettes de votre vie. 

En savoir plus sur le traitement de la douleur chronique

Douleur totale

La douleur ne se limite pas à la douleur physique uniquement. Il y a la douleur physique, mais aussi la douleur émotionnelle, sociale, spirituelle. 

  • Douleur physique : douleur provoquée par une affection.
  • Douleur émotionnelle : sentiments de dépendance, de solitude et de peur.
  • Douleur sociale : rompre ou perdre des liens sociaux parce qu certains rôles ne peuvent plus être assumés.
  • Douleur spirituelle : le désir de sécurité, d'affection, d'intimité et celui d'être entendu(e). 

Lorsque les douleurs spirituelle, sociale, émotionnelle et physique s'influencent continuellement, on parle de « douleur totale ».

Comment la douleur est-elle mesurée ?

Pendant votre hospitalisation, le personnel infirmier mesure au moins deux fois par jour votre douleur. Cette mesure est plus régulière si vous exprimez une douleur ou prenez systématiquement des antidouleurs. 

Si vous avez mal, n'attendez pas que le personnel infirmier vienne mesurer votre douleur. Faites part de votre douleur sans tarder. Plus vous attendez, plus il est difficile de traiter la douleur de manière adéquate. 

Un membre du personnel infirmier vous demandera d'attribuer un score entre 0 et 10 qui correspond à votre douleur au moment de poser la question. 0 représente « aucune douleur » et 10 « la pire douleur imaginable ».

  • 0/10 = aucune douleur
  • 1-3/10 = douleur légère, toutefois gérable sans antidouleurs
  • 4-7/10 = douleur gênante avec besoin d'antidouleurs
  • 8-9/10 = douleur invalidante, forte et intense
  • 10/10 = pire douleur jamais éprouvée

La mesure de la douleur peut être effectuée lorsque vous vous reposez ou pendant un mouvement ou un geste infirmier.

Pour mesurer votre douleur, le personnel infirmier utilise une échelle de la douleur : 

Pijnschaal

 

Pendant que le personnel infirmier mesure votre douleur, il demande aussi si le traitement contre la douleur est efficace.

En savoir plus sur la mesure de la douleur chez les enfants

Comment la douleur est-elle traitée ?

L'équipe traitante se base sur le score que vous avez attribué pour mettre en place ou adapter un traitement contre la douleur. Si vous éprouvez une douleur qui dépasse la limite du confortable, le personnel infirmier vous expliquera comment l'atténeur. Parallèlement aux antidouleurs, il existe quelques astuces qui peuvent vous aider à retrouver un peu de confort. Il n'est cependant pas toujours possible de dissiper toutes les douleurs. À l'az groeninge, notre but est d'atteindre un niveau confortable. 

  • Si vous avez subi une opération à un membre, il est conseillé de l'élever. Cette position fera dégonfler le membre en question, ce qui entrainera également une réduction de la douleur. 
  • Si vous éprouvez des douleurs provoquées par la même position depuis trop longtemps, changez de position. Au besoin, demandez l'aide du personnel infirmier. 
  • Plus vous pensez à la douleur, plus cette douleur est intense. Distrayez-vous en écoutant de la musique, en lisant un livre, en regardant la télé ou en parlant avec un membre de votre famille ou un(e) ami(e). Essayez différentes choses pour voir ce qui marche le mieux.
  • Si vous n'arrivez pas à penser à autre chose, parlez-en au personnel infirmier. Ensemble, vous chercherez des solutions. Appliquer un objet froid ou chaud sur la partie du corps endolorie peut aider à maitriser la douleur. 

Il existe différents types de médicaments pour traiter la douleur. Un(e) anesthésiste passera vous voir avant l'intervention. Il ou elle vous expliquera quel type de médicaments vous sera administré et par quelle voie. Parfois, une intervention est pratiquée sous anesthésie locale, par une péridurale ou un blocage nerveux. 

Les scores de douleur indiqués après l'intervention permettent d'adapter le type et la quantité d'antidouleurs. 

Si vous avez des questions concernant les antidouleurs, posez-les au personnel infirmier ou à votre médecin traitant. Ne prenez jamais d'antidouleurs pour une longue période sans avis médical et respectez scrupuleusement la durée et les délais prescrits. 

Quels sont les fausses idées sur la douleurs ?

  • J'ai déjà beaucoup de symptômes, mieux vaut me taire sur ma douleur.
    La douleur est un paramètre important. Parlez-en toujours au personnel infirmier. Plus vous indiquez votre douleur rapidement, plus elle est facile à traiter. Un traitement efficace peut accélérer votre rétablissement et faire disparaitre d'autres maux. 
  • Après une opération il est normal d'avoir très mal. Je vais mordre sur mes dents.
    La douleur peut retarder le rétablissement et la rééducation. Dans la plupart des cas, la douleur postopératoire peut être bien traitée. Il est donc important de réagir rapidement et correctement. 
  • Le médecin m'a dit de prendre un antidouleur plusieurs fois par jour. Je préfère les garder pour les fortes douleurs. 
    Essayez de prévenir la douleur en prenant des antidouleurs dans les temps. La douleur légère peut être maitrisée avec une faible dose d'antidouleurs. La douleur plus forte peut être prévenue en respectant les délais de prise des antidouleurs prescrits. Vous trouverez toutes les informations concernant la prise correcte de vos antidouleurs dans votre « schéma des médicaments à la sortie ».
  • Les antidouleurs ne créent pas de dépendance.
    En général, le paracétamol et les anti-inflammatoires ne sont pas addictifs. Si votre médecin vous a prescrit de (très forts) opioïdes, il est important de les prendre comme prescrits et de ne pas dépasser la durée et la quantité prescrites. Si malgré tout vous éprouvez des douleurs persistantes, parlez-en à votre médecin. 
  • Les antidouleurs provoquent des effets secondaires.
    Il est vrai que les médicaments peuvent provoquer des effects secondaires. Si vous éprouvez une gêne suite à la prise des médicaments, parlez-en au personnel infirmier ou au médecin. Les effets indésirables peuvent être atténués en adaptant ces médicaments.
  • Si les antidouleurs ne marchent pas, je prends tout simplement d'autres antidouleurs en complément qui n'ont pas été prescrits pour cette intervention. 
    Tenez-vous-en toujours aux antidouleurs prescrits et au schéma des médicaments reçu à la sortie. Si l'effet des antidouleurs n'est pas concluant, mettez-vous en relation avec votre médecin. Ne prenez pas d'autres médicaments sans son avis. 
  • La douleur de mon conjoint a été fortement atténuée en prenant un type d'antidouleurs. Ça  marchera certainement pour moi aussi. 
    Ne prenez jamais les médicaments d'un autre patient ou de votre conjoint. Cette prise peut provoquer des effets indésirables. Vous risquez également de dépasser la dose maximale.

Médicaments à domicile après votre sortie

Il est très important de prendre les antidouleurs tels qu'indiqués sur le schéma des médicaments à la sortie. Si la douleur n'est pas suffisamment atténuée ou si de nouvelles douleurs viennent s'ajouter, mettez vous en relation avec votre médecin généraliste ou avec le secrétariat de votre médecin traitant. 

Il est tout aussi important de ne pas prendre les antidouleurs restants pour soigner d'autres maux ni de les transmettre à des tierces personnes.

Ci-dessous, vous trouverez un aperçu des antidouleurs couramment prescrits en postopératoire. Les différentes classes peuvent être combinées pour mieux maitriser la douleur :

Généralement, ces médicaments constituent la base. Ils préviennent la douleur et la fièvre. Ces médicaments sont sans danger et efficaces pour traiter la douleur (si pris correctement tels que prescrits). Lorsque vous pouvez arrêter vos médicaments, réduisez en dernier lieu votre prise de paracétamol. Arrêtez progressivement.

  • Ces médicaments peuvent vous être prescrits si vous avez besoin d'un anti-inflammatoire ou lorsque la douleur n'est pas suffisamment atténuée avec des médicaments de la première catégorie. 
  • Prenez-les toujours pour la plus courte durée possible et dans la plus faible dose possible.
  • Ne combinez jamais deux anti-inflammatoires différents.
  • Prenez toujours vos anti-inflammatoires pendant le repas avec un grand verre d'eau pour éviter les maux d'estomac. 
  • Pour certains patients, il est conseillé d'également prendre une protection stomacale pendant la période de prise d'anti-inflammatoires. Demandez éventuellement conseil à votre médecin. 
  • Pour certains patients, la prise d'anti-inflammatoires est déconseillée. Si vous souffrez d'insuffisance rénale, de problèmes de foie, d'insuffisance cardiaque ou si vous avez subi une opération à l'estomac dans le passé, faites-en part à votre médecin. 

Exemples : Ibuprofen, Naproxen
 

  • Des opioïdes peuvent éventuellement vous être prescrits si le paracétamol et les anti-inflammatoires n'entrainent pas les effets escomptés. 
  • Les opioïdes peuvent provoquer la constipation. Si vous en souffrez, rendez-vous chez votre pharmacien. Il ou elle vous proposera un médicament qui ramollit les selles et qui est en vente libre. 
  • Lorsque vous commencez à prendre ces médicaments, vous pourriez souffrir de nausées. Elle disparaissent après quelques jours. Au besoin, votre médecin peut vous prescrire des médicaments pour atténuer ces nausées. 
  • Il est déconseillé de manipuler un véhicule lorsque vous êtes sous un ou plusieurs médicaments de la catégorie 3. 

Exemples :

  • Opioïdes faibles :  
    • Tradonal = Tramadol = Contramal = Tramadol = Tramium
    • Dafalgan codeïne
    • Paracetamol + tramadol = zaldiar = algotra
  • Opioïdes forts :
    • Oxynorm (à effet rapide)
    • Oxycontin (à effet longue durée)
       

Contact

Des questions ? 

  • Posez-les au personnel infirmier ou à votre médecin traitant.
  • Contactez la clinique de la douleur. 
Clinique de la douleur
Tel.
056 63 30 30
Numéro d'itinéraire
route E241
Heures de contact téléphonique
Je: 8:00 - 12:00, 13:30 - 18:00
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